Choisir la meilleure contraception possible : indispensable pour vivre sereinement sa vie intime

Un outil indispensable
Des moyens variés
Deux types de procédés
La pilule contraceptive
L’anneau
Le patch contraceptif
L’injection contraceptive
L’implant contraceptif
Le préservatif masculin
Le préservatif féminin
Le diaphragme et la cape cervicale
Le stérilet
Les méthodes naturelles
À chacun son choix
La contraception d’urgence
Et vous ?
Un outil indispensable

Moyen d’éviter les grossesses non désirées et les infections s e x u e llement transmissibles (IST), la contraception est indispensable pour vivre sereinement ses rapports intimes.

Des moyens variés

Les moyens de contraception sont nombreux et, pour la plupart d’entre eux, disponibles dès l’adolescence. L’essentiel à savoir en images.

Deux types de procédés

Il existe deux grandes familles de contraceptifs : les moyens hormonaux, à savoir l’administration d’hormones qui bloquent l’ovulation, et les moyens mécaniques, qui empêchent la rencontre entre le spermatozoïde et l’ovule.

Photo : Anne Nygård / Unsplash

La pilule contraceptive

Parmi les procédés hormonaux, la pilule est un médicament à usage quotidien qui empêche l'ovulation. Son efficacité théorique est de 99 % selon l’Inserm, à condition d’être prise sans aucun oubli.

Photo : Bermix Studio / Unsplash

L’anneau

Fait à base de plastique souple, l’anneau v a g i n a l doit être inséré pour une durée de trois semaines à l’intérieur de l’organe féminin. Son efficacité est supérieure à 90 % dans la pratique.

Photo : Roberto Nickson / Unsplash

Le patch contraceptif

Appliqué sur la peau, le patch contraceptif libère des hormones qui empêchent l'ovulation. Aussi efficace que l’anneau, il doit en revanche être renouvelé toutes les semaines.

Photo : Jeffery Erhunse / Unsplash

L’injection contraceptive

Méthode moins courante, l’injection contraceptive consiste en une injection de progestérone administrée régulièrement par un professionnel de santé afin d’empêcher l’ovulation.

Photo : Reproductive Health Supplies Coalition / Unsplash

L’implant contraceptif

Autre méthode hormonale : l’implant contraceptif, un petit bâtonnet inséré sous la peau du bras qui libère une hormone bloquant l’ovulation. Considéré comme le moyen le plus efficace avec un taux d’échec très faible, il a aussi l’avantage d’être utilisable pour une durée de trois ans.

Photo : Marcelo Matarazzo / Unsplash

Le préservatif masculin

Parmi les moyens de contraception mécaniques, le préservatif masculin est l’un des plus courants. Il doit être placé par l’homme sur son organe g é n i t a l avant de commencer le rapport.

Photo : Reproductive Health Supplies Coalition / Unsplash

Le préservatif féminin

Semblable à son homologue masculin, le préservatif féminin est conçu pour être inséré dans l’organe g é n i t a l de la femme. Il dispose d’une efficacité comparable pour se protéger des grossesses et des IST.

Photo : CDC / Unsplash

Le diaphragme et la cape cervicale

Le diaphragme et la cape cervicale sont placés de manière à couvrir le col de l’utérus, empêchant le passage des spermatozoïdes. Devant être associée à un spermicide, cette méthode présente une moindre efficacité en pratique, surtout pour les femmes ayant déjà accouché.

Photo : Elen Sher / Unsplash

Le stérilet

En cuivre ou hormonal, le stérilet, ou dispositif intra-utérin (DIU), est inséré dans l’utérus par un médecin ou une sage-femme et son efficacité est supérieure à 99 %. Il doit être renouvelé au bout de cinq ans.

Photo : Reproductive Health Supplies Coalition / Unsplash

Les méthodes naturelles

On peut également citer la contraception « naturelle » (retrait ou abstinence périodique), qui implique l’identification de la période de fertilité féminine dans le mois. Beaucoup moins fiable, cette méthode n’est utilisable que si l’éventualité d’une grossesse est acceptée.

À chacun son choix

Chaque méthode présente ses avantages et ses inconvénients : il appartient à chacun de choisir en fonction de sa situation (grossesse antérieure ou non), de son état de santé et de ses choix personnels, de préférence en en parlant avec un professionnel de santé.

Photo : Becca Tapert / Unsplash

La contraception d’urgence

La contraception d’urgence, ou « pilule du lendemain », réduit le risque de grossesse non désirée après un rapport à risque. En France, elle est disponible pour toutes en pharmacie, gratuitement et sans prescription médicale, depuis le 1er janvier 2023. Cette méthode employée pour les situations d’urgence ne doit cependant pas remplacer la contraception régulière.

Et vous ?

En France, 92 % des femmes de 15 à 49 ans qui ne désirent pas de grossesse utilisent un moyen de contraception. Si vous êtes dans cette tranche d’âge et ne souhaitez pas avoir d’enfant dans l’immédiat, sortez couvert !

Photo : Edward Cisneros / Unsplash

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