Découvrez quelques-unes des déclarations les plus mémorables de Donald Trump
Qu'il s'agisse de la fois où il a retweeté une citation du dictateur italien fasciste Benito Mussolini ou des menaces qu'il a proférées pour retirer les habilitations de sécurité à ses détracteurs, Trump a multiplié les coups d'éclat au cours de sa présidence... Difficile de les classer !
Voici une courte liste de certains des moments les plus improbables de Trump, parmi toutes celles que les médias américains se sont empressés de recueillir au cours des années de mandat de l'ancien président américain.
"Tout homme capable d'asséner un coup de poing est mon genre d'homme", a déclaré Trump, au sujet du représentant Greg Gianforte, qui a plaidé coupable d'un délit mineur pour avoir asséné un coup de poing au journaliste Ben Simmons. Selon la chaîne américaine d'information financière 24/24 "CNBC", le président aurait tenu ces propos lors d'un meeting de campagne à Missoula.
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Lors d'un rassemblement de campagne en 2015 en Caroline du Sud, il se serait, selon le réseau de télévision "NBC News", moqué du journaliste handicapé Serge Kovaleski.
Le journal d’information britannique "The Guardian" explique que Trump est allé jusqu'à modifier les photos pour faire paraître la foule plus grande qu'elle ne l'était lors de son investiture. Le président américain s'était persuadé que le public de son investiture constituait le plus grand nombre de spectateurs de tous les temps, malgré les photos qui semblent le démentir.
Le 13 mars 2018, le secrétaire d'État Rex Tillerson devient le premier membre du cabinet du président à être renvoyé par le biais des réseaux sociaux. Le magazine mensuel culturel américain "The Atlantic" rapporte que Trump n'a appelé Tillerson que trois heures après son tweet.
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L'agence de presse anglaise "Reuters" nous apprend qu'après que la sénatrice Elizabeth Warren a affirmé être en partie amérindienne, à la suite d'un test ADN que Donald Trump l'avait mise au défi de passer en échange d'un million de dollars destinés à l'association caritative de son choix, Donald Trump s'est laissé aller au racisme en la surnommant "Pocahontas".
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Selon l'ACLU (Union américaine pour les libertés civiles) de Washington, le décret 13769 interdisait aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane de se rendre aux États-Unis pendant 90 jours et a suspendu la réinstallation des réfugiés durant 120 jours.
"Les migrants mexicains ne sont pas les amis des États-Unis et ils apportent avec eux la drogue et le crime", déclarait Trump pendant sa première campagne, selon le magazine d'information hebdomadaire américain "Time". Un autre exemple des tendances racistes du président américain.
Selon le magazine mensuel culturel américain "The Atlantic", Trump se serait demandé, en 2018, pourquoi tant de gens en provenance de "pays de m...." venaient aux États-Unis, en parlant des migrants d'Haïti, du Salvador et de certains pays africains.
Même si l'une de ces personnes a foncé dans la foule avec sa voiture et a tué quelqu'un, selon la chaîne d'information australienne "ABC News", Trump a défendu les manifestants blancs de Charlottesville, qui protestaient contre le retrait, lors d'une manifestation précédente, de la statue de Robert E. Lee. Il a déclaré qu'il y avait "des gens très bien des deux côtés".
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"S'il vous plaît, ne soyez pas trop gentils", déclarait Trump au sujet d'un incident survenu à Long Island en 2017, alors que les policiers appréhendaient un suspect. Selon "ABC News", le président les aurait ainsi incités à malmener le suspect.
Après que des avocats et des juges spécialisés dans l'immigration ont commencé à signaler que des parents arrivaient dans des centres de détention sans leurs enfants, l'une des politiques les plus tristement célèbres de l'administration présidentielle de l'époque a été dévoilée au grand jour. En effet, une enquête du "New York Times" a révélé que quelque 700 enfants avaient été séparés de leurs parents.
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Selon la chaîne de télévision "CNBC", Trump a semé la panique à Washington en déclarant simplement qu'il retarderait la signature du projet de loi d'aide à la lutte contre le COVID cinq jours après avoir laissé entendre qu'il y mettrait son veto. L'une des nombreuses erreurs du président au cours de la pandémie.
Preuve (selon le journal "The Washington Post") que l'ancien président a voulu truquer les élections : dans une conversation qui a fuité, on l'entend demander à Brad Raffensperger, secrétaire d'État de Géorgie, de lui trouver 11 780 votes supplémentaires.
"Trump a fait un dernier baroud d'honneur et a incité ses partisans à prendre d'assaut et à saccager le Capitole des États-Unis dans le cadre d'une tentative de coup d'État", a écrit Philip Rucker du "Washington Post". Le 6 janvier, l'ancien président aurait supposément encouragé l'insurrection.
La nouvelle déclaration choquante de Donald Trump au sujet d'une procureure